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Voir les différentes régions de la Péninsule.

La péninsule est habitée par les humains quasiment depuis leur apparition, des tribus errantes venant s'installer dans ses plaines.


Création du Royaume Péninsulaire[]

Au cours des siècles qui suivirent leur création, les péninsulaires entrèrent en guerre contre les elfes, pour le territoire désormais connus comme la forêt d'Aduram.

Puis ils virent les abords de leur territoire petit à petit colonisés par les païens wandrais dans le Nord et par les expéditions nisétiennes dans le Sud. Finalement, sous l'impulsion d'une nouvelle dynastie et motivé par leur foi, un mouvement de reconquête est initié et en quelques siècles la péninsule est unifiée sous une seul bannière. Les bases de la société féodale sont jetées.


Clivage Régional[]

Ces anciennes cultures (Nisetiens, Wandrais et Péninsulaire ) ont des héritages aujourd'hui encore visibles et sont à l'origine du clivage Nord-Médian-Sud péninsulaire.


Les Etrangers[]

La population reste très essentiellement humaine, mais l'on peut dans certaines régions y apercevoir un membre d'une autre espèce ou un sang-mêlé. Le manque d'éducation de la plèbe les fait toutefois majoritairement craindre les étrangers et ils seront souvent mal accueillis, voir pourchassés et accusés de tous les maux. Les villes seront souvent plus ouvertes, en particulier les villes portuaires de l'Olienne en contact avec l'Ithri'Vaan.


Climat et ressources[]

Le territoire dispose d'un climat globalement tempéré, en particulier grâce à la présence de l'Eris qui le borde à

l'ouest et au nord.

Séparé entre nord et sud par une chaîne de montagnes mi-hautes et de nombreux vallons, il s'organise principalement en deux grandes plaines.


Nord[]

Celle du nord, essentiellement recouverte par une agriculture céréalière et des élevages bovins et parfois équestres à une altitude un plus élevé et se terminent souvent sur des falaises. Toute sa partie est était autrefois recouverte par l'Aduram mais a depuis été en grande partie déboisée pour laisser place à des champs. Elle se termine sur les premiers contreforts des wandres, ce qui y rafraîchit considérablement le climat mais permet d'exploiter quelques mines. Elle est également traverser de rivières, dont certaines que l'on peut remonter pour accéder à l'Oliya puis redescendre en Ithri'Vaan.


Sud[]

La plaine sud est plus basse, les littoraux s'y étendent en larges plages et permettent l'exploitation de marais salins. L'agriculture y est plus variée et maraîchère, mais aussi légèrement moins productive dus à un

climat un peu plus sec. En effet les vents d'Eris sont en partie arrêtés par les montagnes et les tempêtes brisées par l'île de Méca, au large des côtes ouest. Tout ceci est essentiellement irrigué par un fleuve qui descend depuis les montagnes jusqu'à la pointe la plus au sud. La population y est majoritairement concentrée dans les villes portuaires ou très proches, l'activité maritime y étant bien plus développé qu'ailleurs. Exception faites pour la capitale du royaume, Diantra , qui a été bâtis au coeur de cette plaine.



Médian[]

Enfin le centre de la péninsule, occupé en grande partie par les montagnes, possède une agriculture modérée bien que réputée pour ses vignes, des élevages essentiellement équestre et quelques ressources minières. Ses habitants ont sus grandement profiter des échanges entre les deux plaines pour améliorer leurs revenus et mettre en place un commerce florissant.

Hierarchie Sociale[]

La société péninsulaire est organisée suivant un modèle féodal.


Plèbe[]

En bas de l'échelle, paysans et les plus petits seigneurs, n'ont pas souvent une vision d'ensemble du système, et si le royaume existe bien dans leur esprit, ils ne se préoccupent que rarement de ce qui se passe hors de leur terres. Après tout à quoi bon se préoccupé de qui est sur le trône lorsqu'on ne sait pas à quel point sa récolte sera fructueuse.


Prêtrise[]

Les prêtres ont une grande influence sur les petites gens comme sur une grande partie de la noblesse et s'ils ne peuvent directement dicter les lois ils ont toujours l'oreille des seigneurs.


Seigneurie[]

Ces préoccupations sont laissées aux seigneurs de plus grande importance. Le seigneur détient tous les pouvoirs sur le territoire dont il a la charge: il décide des lois, des taxes, rend la justice, possède les terres et les installations communes (moulins, puits...), dirige l'armée... bien que certaines nuances peuvent apparaître suivant les régions.

Si toutefois le seigneur a le dernier mot, il est souvent secondé par un nombre plus ou moins grand de conseillers suivant son importance et les coutumes de la région. Dans ces conseillers on pourra trouver les membres de sa propre familles, d'autres d'éventuelles familles vassales, des représentants du peuple

-le plus souvent des bourgeois-, des amis proches, de rares roturiers choisis pour leur compétences... En vérité le seigneur peut nommer qui il veut.


Droit du sang[]

La charge de seigneur est héréditaire, le cas le plus commun étant qu'à la mort -ou parfois le retrait suite à quelques incapacités- du seigneur


ce soit l'aîné de ses enfants qui prennent sa place. S'il n'y a plus -ou n'y a jamais eu- d'enfants, c'est souvent un parent proche qui prend sa place. Le ou la conjoint(e) peut également prendre le titre mais le cas est plus rare.

Enfin dans les cas exceptionnels ou il ne reste plus personne de la lignée, ou en tout cas personne de suffisamment proche pour n'avoir aucune contestation, il se peut que divers prétendants s'opposent. Bien sûr cela ne peut arriver que si le territoire en question est suffisamment vaste pour attirer telle attention.

On comprend donc que la famille est l'une des valeurs les plus importantes et partagée par l'ensemble - ou peu s'en faut - du Royaume.


Vassalité[]

Le serment de vassalité, base même de la société féodale, est davantage un pacte de confiance qu'un contrat scellé. Le suzerain s'engage à protéger son vassal et à le traiter équitablement, tandis que celui-ci jure fidélité et assistance.

Si à l'origine ils reposaient uniquement sur une estime mutuelle des deux parties, désormais de tels serments se font en grande partie par convenance ou tradition, renouvelés par chaque nouveau seigneur ou auprès de celui-ci. Un refus de la part d'un vassal, ou envers un suzerain, peut tout à fait déboucher sur des affrontements armés. Nombre de ces serments sont donc guidés par un rapport de force sous-jacent ou une recherche du meilleure profit.


Religions[]

Depuis l'unification de la péninsule par le premier roi Fiiram , le culte majoritaire bien qu'avec quelques variations suivant les régions est celui des Cinq et en particulier de Néera .


Néera[]

Aussi appelée Damedieu, celle qui insuffla la vie aux premiers humains, on trouve des temples et des autels qui lui sont dédiés à travers toute la péninsule et les ordres à son service sont nombreux. Dans les villes, on trouve souvent des hospices tenus par les gens au service de la déesse et qui dispensent leurs soins à ceux qui en ont besoin.

Le clergé vit des donations mais également des rentes, puisque certaines parcelles de terres, au lieu d'être sous la juridiction d'un seigneur, lui appartiennent.


les Cinq[]

Les autres dieux bénéficient aussi de leur propres cultes, dont l'influence varie grandement suivant les régions et le milieu. Ils ne possèdent bien souvent des temples que dans certaines villes et leurs représentants disposent de bien moins d'oreille à l'écoute, excepté peut-être les prêtres de Tyra.


Les Fêtes[]

Les fêtes et cérémonies religieuses émaillent le quotidien du peuple et sont souvent pour les nobles l'occasion de se faire apprécier par leurs gens ou bien voir par leurs voisins en organisant des festivités pour les premiers et des banquets pour les seconds. Les plus importantes cérémonies sont également l'occasion de tournoi entre chevaliers où ceux-ci peuvent briller devant des parterres attentifs.

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